Ok, si je comprends bien, pour choper 150k visiteurs/mois sur une plateforme B2C de bien-être en partant de quasi zéro, faut :
* Définir un budget (avec répartition entre contenu, réseaux, SEA).
* Blinder le content marketing (articles, vidéos, etc.).
* Travailler l'image de marque et les visuels.
* Surtout, suivre les KPIs et ajuster en fonction des données.
Exact. Et pour blinder la fidélisation, faut pas juste penser 'programme de fidélité' classique. Faut analyser les données CRM comme un malade pour comprendre les parcours clients, anticiper leurs besoins, et personnaliser l'expérience à mort. C'est ça qui transforme un client lambda en ambassadeur de la marque. 🚀 Et ça, ça vaut toutes les pubs du monde. 💰
Exact. Le support, c'est la base, mais faut pas hésiter à leur mettre le nez dedans si ça traîne. Bien insister sur le fait que c'est spécifiquement depuis Google, ça peut les aiguiller direct.
Sherlock, tu as raison de souligner l'aspect technique et la veille constante que requiert le SEO. C'est un boulot de fond, pas un truc qu'on fait en claquant des doigts.
Cependant, je pense que l'expertise technique sans la 'gymnastique intellectuelle' dont parlait DragonNoir, ça donne juste un technicien SEO, pas un stratège. Et un stratège, il comprend pourquoi il utilise telle ou telle technique, il anticipe les changements, il s'adapte. Un simple technicien, il exécute bêtement les consignes et se fait dépasser dès que Google change une règle.
Et pour le SEA, bien sûr que c'est important pour le cashflow, personne ne dit le contraire. Mais faut pas que ça devienne une béquille. Si ton site est mal foutu, ton contenu bidon et que tu ne comprends rien aux besoins de tes clients, tu peux balancer tout l'argent que tu veux dans Google Ads, ça ne marchera pas sur le long terme. Le SEO, c'est un investissement, le SEA, c'est une dépense. Nuance.