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Comment le taux de clics (CTR) dans une campagne Google Ads se mesure-t-il par rapport au taux de conversion (CVR) ?

Posté par : KazakThunder - le le 06 Mars 2025

Je me demandais comment on pouvait évaluer la performance d'une campagne Google Ads en comparant le CTR et le CVR. 🤔 Est-ce qu'il y a des benchmarks sectoriels à prendre en compte, ou des formules spécifiques pour analyser l'impact du CTR sur le CVR ? J'aimerais bien comprendre comment ces deux métriques interagissent pour optimiser au mieux les campagnes. 🤓 Y a-t-il des outils ou des techniques particulières pour affiner cette analyse ? Merci pour vos lumières ! 💡

Commentaires (13)

C'est une super question ! 👍 Pour compléter, il faut aussi penser à la qualité de la page de destination. Un bon CTR attire les visiteurs, mais si la page est mal conçue ou ne répond pas à leurs attentes, le CVR va s'effondrer. Pensez expérience utilisateur (UX) et pertinence du contenu ! 🤓

Chloé a raison, la page de destination, c'est la clé. Un CTR élevé, c'est bien, ça veut dire que ton annonce tape dans l'œil, mais si derrière, l'atterrissage est raté, c'est de l'argent foutu par les fenêtres. L'UX, c'est pas juste un mot à la mode, c'est la base.Faut voir le CTR comme un premier filtre. Si t'as un CTR pourri (disons, sous la barre des 2% dans la plupart des secteurs), c'est que ton annonce est soit mal ciblée, soit mal rédigée, soit les deux. Dans ce cas, faut revoir le ciblage, tester différents accroches, jouer sur les mots-clés.Ensuite, le CVR prend le relais. Lui, il te dit si ce que tu proposes après le clic est pertinent. Si ton CVR est faible malgré un bon CTR, là, tu dois te pencher sur ta page de destination : est-ce qu'elle est claire, est-ce qu'elle inspire confiance, est-ce qu'elle répond à la promesse de l'annonce ? Un CVR correct, ça dépend des secteurs, mais en dessous de 3%, faut se poser des questions. Pour de l'e-commerce, viser au moins 1%, c'est déjà pas mal, mais certains arrivent à bien plus.L'interaction entre les deux, c'est un cercle vertueux (ou vicieux). Si tu bosses bien les deux, Google te récompense avec un meilleur Quality Score, ce qui réduit ton CPC et augmente tes marges. C'est mathématique.Et KazakThunder parlait de benchmarks sectoriels, c'est une bonne idée, mais faut pas non plus s'y fier aveuglément. Chaque business est unique, et ce qui marche pour l'un ne marchera pas forcément pour l'autre. L'A/B testing, c'est ton meilleur ami pour ça. Tu testes, tu mesures, tu ajustes. Y a pas de recette miracle.

BinaryBaron60 a mis le doigt sur un point essentiel : le Quality Score. C'est le Saint Graal ! Si Google t'aime, il te le rend bien en baissant ton CPC. Et l'A/B testing, c'est clairement la base pour optimiser tout ça. Pas de secret, faut tester en permanence et analyser les résultats.

Tellement d'accord avec TChalla sur le Quality Score ! C'est dingue comme on peut voir la diff juste en bossant son QS. Genre, j'ai vu des campagnes passer d'un QS de 5 à 8, et le CPC a chuté de presque 30% ! 📉 C'est pas rien, ça impacte direct le ROI. Et BinaryBaron60 a raison, l'A/B testing, c'est la vie. On a testé des dizaines de variations de titres et de descriptions pour une cliente dans le secteur de la mode éthique, et on a vu le CTR grimper de 1,5% à 3,2% juste en changeant un mot ! 😲 C'est fou comme les petits détails comptent. Et après, on a bossé la page de destination, en mettant en avant les valeurs de la marque et en simplifiant le parcours d'achat, et là, le CVR a fait un bond de 0,8% à 2,1%. 🚀 C'est vraiment un travail d'équipe entre l'annonce et la page de destination. Faut pas négliger l'un ou l'autre. Et pour répondre à KazakThunder, les benchmarks sectoriels, c'est bien pour avoir une idée, mais faut surtout se concentrer sur ses propres données et faire ses propres tests. Chaque audience est différente, et ce qui marche pour les autres ne marchera pas forcément pour nous. C'est un peu comme la calligraphie, chacun a son propre style, même si on apprend les mêmes bases. ✍️

Je suis d'accord avec PersonaCraft sur l'importance de tester et d'analyser ses propres données, mais je pense que les benchmarks sectoriels peuvent quand même donner une direction et éviter de partir dans tous les sens. C'est comme avoir une boussole, ça aide à ne pas se perdre, même si le chemin est unique. 🤔

Wonder Woman, t'as raison, c'est une boussole, pas un GPS. Faut pas suivre aveuglément, mais ça donne un cap. Sinon, on se retrouve à tester des trucs complètement hors sol. Et encore, même avec une boussole, on peut se perdre... mais c'est une autre histoire.

Je comprends l'analogie avec la boussole, Sherlock, mais je pense qu'il faut faire attention à ne pas trop se reposer sur les benchmarks. Ils peuvent donner une fausse impression de sécurité et empêcher d'explorer des pistes plus originales, plus adaptées à un contexte spécifique. Chaque campagne est unique, et ce qui compte avant tout, c'est de comprendre sa propre audience et ses propres données.

Pour recentrer sur la question initiale de KazakThunder, concernant les outils, Google Analytics est ton ami. Configure bien le suivi des conversions (objectifs, e-commerce si tu vends en ligne...), et tu auras une vision claire du parcours utilisateur, du clic à la conversion. Tu peux aussi utiliser des outils d'analyse de cartes de chaleur (Hotjar, par exemple) pour voir comment les visiteurs interagissent avec ta page et identifier les points de friction qui pourraient expliquer un CVR faible. C'est complémentaire des données chiffrées et ça peut donner des idées d'amélioration.

Gemina92 a raison, Google Analytics c'est la base pour voir ce qui se passe. Mais attention à bien paramétrer les objectifs, parce que sinon, on se retrouve avec des données incomplètes et on prend des décisions à l'aveugle… Et pour les cartes de chaleur, c'est pas mal pour voir où les gens cliquent, mais faut pas non plus en devenir dépendant. C'est un outil, pas une vérité absolue.

Margaret Hamilton17, je vois ton point, mais je pense que c'est un peu plus nuancé. Bien sûr, il ne faut pas prendre les cartes de chaleur pour argent comptant, mais elles peuvent quand même révéler des tendances intéressantes sur le comportement des utilisateurs. C'est un indicateur parmi d'autres, et il faut le croiser avec d'autres données, comme les analytics, les tests utilisateurs, etc. Mais les ignorer complètement, ce serait se priver d'une source d'info potentiellement précieuse. 🤔

KazakThunder, tu as tout à fait raison de souligner l'importance de croiser les données des cartes de chaleur avec d'autres sources. Perso, j'aime bien les coupler avec des sessions d'eye-tracking, quand c'est possible. Ça permet de voir ce que les utilisateurs regardent vraiment, et pas seulement où ils cliquent. C'est un peu plus poussé, mais ça peut révéler des trucs dingues sur l'attention et l'engagement. 👀 Après, c'est sûr que ça dépend du budget et des ressources disponibles. Mais même sans ça, bien interpréter les heatmaps, c'est déjà un super step. 👍

CodeQueen62, l'eye-tracking, c'est le niveau au-dessus, clair ! Pas toujours facile à mettre en place, mais quand t'as les moyens, c'est une mine d'infos. Voir ce qui attire vraiment l'oeil, c'est un sacré avantage pour optimiser l'UX et, par conséquent, le CVR. Et tu as raison, même sans aller jusque là, une bonne analyse des heatmaps, c'est déjà top !

CodeQueen62 a raison, l'eye-tracking, c'est une approche sophistiquée. Pour ceux qui ont des budgets plus modestes, pensez aussi aux enregistrements de sessions utilisateurs (avec respect du RGPD, bien sûr !). On peut voir directement les difficultés rencontrées par les visiteurs, les hésitations, les clics manqués... C'est moins précis que l'eye-tracking, mais très instructif et souvent plus accessible.